Qu’est-ce que le traitement de FIV et à qui s’adresse-t-il ?

Le traitement de FIV est une méthode de reproduction moderne appliquée aux couples qui ont des difficultés à concevoir naturellement. Les ovocytes prélevés chez la femme sont combinés avec les spermatozoïdes prélevés chez l’homme en laboratoire afin de créer des embryons, et les embryons appropriés sont transférés dans l’utérus pour tenter d’obtenir une grossesse.
Les femmes dont les trompes sont obstruées, les hommes ayant un faible nombre de spermatozoïdes, les couples souffrant d’infertilité inexpliquée et les femmes dont la réserve ovarienne est diminuée sont des candidates adaptées à ce traitement. Chez les femmes d’âge avancé dont les chances de réussite avec leurs propres ovocytes sont faibles, l’option du don d’ovocytes constitue l’un des avantages importants de cette méthode.

Quelles sont les étapes du traitement de FIV ?

Le traitement se compose de plusieurs étapes principales. Tout d’abord, les ovaires sont stimulés par des médicaments hormonaux, et lorsque les ovocytes suivis atteignent leur maturité, ils sont prélevés au moyen d’une petite intervention chirurgicale. Au même moment, un échantillon de sperme est prélevé et combiné avec les ovocytes en laboratoire, lançant ainsi le développement embryonnaire.
Parmi les embryons en développement, les candidats les plus forts sont sélectionnés et transférés dans l’utérus de la future mère. Une prise de sang réalisée environ 10 à 12 jours plus tard indique si une grossesse s’est installée ou non. Ce processus est étroitement suivi par une équipe spécialisée, et chaque étape est planifiée individuellement.

Combien de temps dure le traitement de FIV au total ?

L’ensemble du cycle de traitement dure généralement environ un mois. La stimulation ovarienne prend environ 10 à 12 jours, et la ponction ovocytaire ainsi que le transfert embryonnaire sont effectués durant le même mois.
Pour les patientes venant de l’étranger, le processus peut être rendu plus pratique : les tests préliminaires sont réalisés dans leur propre pays et la durée de séjour nécessaire à Chypre est le plus souvent limitée à 5 à 10 jours. Ainsi, les patientes bénéficient à la fois d’un traitement de courte durée et des avantages du tourisme médical.

Quel est le taux de réussite du traitement de FIV ?

Le taux de réussite dépend en grande partie de l’âge de la femme et de la qualité de ses ovocytes. Dans les groupes d’âge plus jeunes, les chances de grossesse sont très élevées ; chez les femmes de moins de 30 ans, le taux de succès peut dépasser 80 %.
Après 35 ans, ce taux diminue progressivement ; entre 38 et 40 ans, il se situe autour de 50 à 70 %. Chez les femmes de plus de 40 ans, en particulier dans les tentatives avec leurs propres ovocytes, le taux de réussite peut descendre en dessous de 50 % en raison de la fragilisation génétique des ovocytes liée à l’âge.
En revanche, lorsque des ovocytes de donneuses sont utilisés, l’effet de l’âge est largement éliminé, et les taux deviennent beaucoup plus élevés. De plus, les cliniques expérimentées et de bonnes conditions de laboratoire augmentent considérablement les chances de succès.

Y a-t-il une limite d’âge pour le traitement de FIV ?

Bien qu’il n’existe pas de limite d’âge officielle stricte, les tentatives à un âge maternel très avancé donnent des résultats très limités. De nombreuses cliniques ne recommandent pas de traitement avec les ovocytes propres de la patiente après 45 ans.
À Chypre du Nord, la limite légale est de 55 ans ; toutefois, après 45 ans, une autorisation du ministère de la Santé est nécessaire. Dans cette tranche d’âge supérieure, la grossesse est généralement possible uniquement grâce au don d’ovocytes.
Il n’existe pas de limite d’âge précise pour les hommes, même si la qualité du sperme peut diminuer avec l’âge. L’âge reproductif masculin est beaucoup plus large comparé à celui des femmes.

Qu’est-ce que le don d’ovocytes ?

Le don d’ovocytes est une méthode spéciale de fécondation in vitro dans laquelle des ovocytes prélevés chez une donneuse jeune et en bonne santé sont utilisés pour les femmes qui ne peuvent pas tomber enceintes avec leurs propres ovocytes. Les ovocytes prélevés chez la donneuse sont fécondés au laboratoire avec les spermatozoïdes du père afin d’obtenir des embryons. Ces embryons sont ensuite transférés dans l’utérus de la receveuse, préparée pour la grossesse.
En général, les femmes dont la réserve ovarienne est très diminuée, celles qui sont entrées en ménopause précoce, celles à qui les ovaires ont été retirés ou celles qui portent une maladie génétique empêchant l’utilisation de leurs propres ovocytes préfèrent cette méthode. Chypre est l’un des rares endroits où ce traitement peut être appliqué légalement et en toute sécurité.

Je suis en ménopause. Puis-je tout de même avoir un enfant ?

Oui, c’est possible. La ménopause signifie que la production d’ovocytes propres s’est arrêtée, mais tant que l’utérus est en bonne santé, une grossesse peut avoir lieu. Chez les femmes ménopausées, on utilise le don d’ovocytes ; des ovocytes prélevés chez une jeune donneuse sont fécondés puis transférés dans l’utérus.
L’utérus de la future mère est préparé par des traitements hormonaux pour soutenir la grossesse. Grâce à cette méthode, de nombreuses femmes dans la cinquantaine peuvent vivre des grossesses en bonne santé. À Chypre, ce traitement peut être appliqué jusqu’à 55 ans si les conditions médicales sont favorables.

Le don d’ovocytes est-il légal à Chypre ?

Oui. À Chypre, le don d’ovocytes est entièrement légal et appliqué dans un cadre réglementaire strict établi par l’État. Les contrôles de santé des donneuses, les dépistages génétiques, la tranche d’âge et les évaluations psychologiques sont des obligations légales.
La confidentialité entre la donneuse et la receveuse est essentielle ; leurs identités ne sont pas partagées. Comme cette pratique est interdite en Turquie, de nombreux couples choisissent Chypre pour ce traitement.

Quel est le taux de réussite avec le don d’ovocytes ?

Les traitements utilisant des donneuses font partie des méthodes de procréation assistée ayant les taux de réussite les plus élevés. La raison est que les ovocytes proviennent de donneuses jeunes et en bonne santé.
De manière générale, les taux de grossesse peuvent atteindre 60 à 70 %. Dans certaines cliniques, lorsque les conditions sont favorables, ce taux peut même dépasser 80 %.
Bien entendu, les taux peuvent varier selon la santé utérine de la receveuse, la qualité du sperme utilisé et le développement des embryons.

Comment les donneuses d’ovocytes sont-elles sélectionnées et sont-elles fiables ?

La sélection des donneuses est un processus mené avec beaucoup d’attention. En général, ce sont des femmes dans la vingtaine ou au début de la trentaine, en bonne santé, ayant une fertilité prouvée ou ayant au moins une grossesse.
Les candidates passent des tests de dépistage des infections, des analyses génétiques, des évaluations du groupe sanguin et un entretien psychologique.
La compatibilité physique est également importante ; on choisit des donneuses ressemblant à la receveuse (couleur de peau, couleur des cheveux et des yeux, morphologie). Toutes les informations sont légalement confidentielles. Les cliniques de Chypre disposent de larges bases de donneuses, facilitant une bonne correspondance.

À qui ressemblera le bébé avec le don d’ovocytes ?

La structure génétique provient entièrement de la donneuse et du père, donc le bébé porte les gènes de la donneuse et du père. Par conséquent, l’apparence physique et certains traits génétiques peuvent venir de la donneuse.
Cependant, comme la future mère porte la grossesse dans son propre utérus, les effets épigénétiques durant la grossesse peuvent influencer certaines caractéristiques du bébé. De plus, comme la ressemblance physique est prise en compte lors du choix de la donneuse, la plupart des bébés ressemblent à la famille.
Le lien entre la mère qui porte la grossesse et le bébé est extrêmement fort, indépendamment du lien génétique.

Qu’est-ce que le PGT ?

Le PGT est un test permettant d’examiner génétiquement les embryons obtenus lors du traitement de FIV avant leur transfert dans l’utérus. Quelques cellules sont prélevées sur l’embryon afin de détecter d’éventuelles maladies génétiques ou anomalies chromosomiques.
L’objectif est de sélectionner les embryons les plus sains d’un point de vue génétique, afin d’augmenter les chances de succès de la grossesse et d’assurer la naissance d’un bébé en bonne santé. Le PGT peut détecter à la fois les maladies monogéniques et les problèmes chromosomiques, ce qui en fait une étape importante des applications modernes de FIV.

Dans quels cas le PGT est-il recommandé ?

Le PGT n’est pas obligatoire pour tout le monde ; il offre un grand avantage dans certains groupes à risque. Il est recommandé dans les situations suivantes :

Présence de maladies génétiques connues dans la famille
Fausses couches répétées
Âge maternel avancé
Échecs répétés de FIV
Situations nécessitant la détermination du sexe en cas de maladies génétiques liées au sexe ou pour l’équilibre familial (légal à Chypre)

Le PGT nuit-il à l’embryon ?

Grâce aux techniques modernes de biopsie, le risque de nuire à l’embryon est extrêmement faible. Une fois l’embryon arrivé au 5ᵉ jour (stade blastocyste), la biopsie est réalisée sur la couche externe qui formera le placenta, et non sur les cellules internes qui formeront le bébé. Ainsi, le potentiel de développement de l’embryon n’est pas affecté.
Bien qu’il existe un risque minimal lié à la biopsie, il est très faible. La sélection génétique de l’embryon le plus sain augmente généralement les chances globales de réussite du traitement.

Qu’est-ce que le don d’embryons et comment se déroule-t-il ?

Le don d’embryons est une méthode reproductive spéciale appliquée aux personnes qui présentent des problèmes à la fois au niveau des ovocytes et des spermatozoïdes. Dans cette méthode, les ovocytes d’une donneuse adaptée et les spermatozoïdes d’un donneur sont fécondés en laboratoire pour créer des embryons sains.
Parmi les embryons développés, les plus qualitatifs sont transférés dans l’utérus de la receveuse préparée par un traitement hormonal afin de favoriser la grossesse.
À Chypre, il n’est pas légal de donner à une autre famille des embryons non utilisés ; des embryons entièrement nouveaux sont donc créés à partir de donneurs spécialement sélectionnés. Tout le processus est mené dans le respect strict de la confidentialité et de l’éthique.

À qui s’adresse le don d’embryons ?

Cette méthode est idéale dans les situations suivantes :

Couples n’ayant ni ovocytes ni spermatozoïdes : par exemple, une femme en ménopause précoce et un homme souffrant d’azoospermie.
Femmes célibataires en âge avancé : pour les femmes dont les ovocytes ne sont pas adaptés et qui souhaitent devenir mères seules.
Couples présentant un risque génétique : lorsque les deux partenaires portent des maladies héréditaires graves et qu’il est presque impossible d’obtenir un embryon sain.
Échecs répétés de FIV : pour les couples dont la qualité embryonnaire est jugée faible.

En résumé, le don d’embryons offre une possibilité de fonder une famille aux personnes dont la probabilité de réussite avec leurs propres cellules reproductrices est très faible, voire inexistante.

Quel est le taux de réussite avec le don d’embryons ?

Le don d’embryons est l’une des méthodes ayant les taux de réussite les plus élevés. En effet, les ovocytes et les spermatozoïdes proviennent de donneurs jeunes et en bonne santé, permettant d’obtenir des embryons de très bonne qualité.
De manière générale, les taux de grossesse au premier transfert peuvent atteindre 70 à 75 %. Dans certaines cliniques, deux tentatives combinées peuvent atteindre des taux de 85 à 90 %.
Le facteur le plus déterminant est l’état de l’utérus de la receveuse. Lorsque la muqueuse utérine est bien préparée, les embryons issus de donneurs ont un potentiel d’implantation très élevé.

Qu’est-ce que le don de sperme et comment se déroule-t-il ?

Le don de sperme est utilisé lorsque la production de spermatozoïdes chez l’homme est insuffisante, lorsqu’aucun spermatozoïde ne peut être trouvé ou lorsqu’il existe un risque génétique empêchant l’utilisation de son propre sperme. Dans ce traitement, on utilise des spermatozoïdes provenant d’un donneur ayant passé des tests médicaux et génétiques.
Le traitement peut être réalisé de deux manières :

Insémination intra-utérine (IIU) : le sperme du donneur est directement placé dans l’utérus.
FIV/ICSI : les ovocytes de la future mère sont prélevés et fécondés au laboratoire avec le sperme du donneur.

L’option FIV est généralement privilégiée car elle offre un taux de réussite plus élevé. Les spermatozoïdes de donneurs proviennent de banques de sperme internationales certifiées, la confidentialité est strictement respectée et tout le processus est mené dans un cadre légal.

À qui s’adresse le don de sperme ?

Le don de sperme convient dans les cas suivants :

Azoospermie ou anomalies sévères du sperme : lorsque même les méthodes chirurgicales ne permettent pas d’obtenir des spermatozoïdes vivants.
Risque de maladie génétique : lorsque l’homme porte une maladie grave susceptible d’être transmise au bébé.
Femmes célibataires : pour les femmes qui souhaitent devenir mères sans partenaire.
Couples féminins : lorsque les conditions légales le permettent, pour les couples de femmes souhaitant avoir un enfant.

Cette méthode est l’une des solutions les plus pratiques lorsque l’homme présente un problème de production spermatique ou lorsque la future mère planifie une grossesse seule.

Quel est le taux de réussite avec le don de sperme ?

Les taux de réussite sont élevés car les spermatozoïdes utilisés proviennent de donneurs jeunes, en bonne santé et présentant une forte capacité de fécondation.
Le taux de grossesse dépend généralement de l’âge de la future mère et de la qualité de ses ovocytes. Chez les femmes jeunes, le taux de réussite peut atteindre 60 à 70 % avec la FIV.
Lorsque la santé utérine est bonne et la réserve ovarienne suffisante, certaines cliniques peuvent atteindre des taux de 80 %.
L’insémination offre un taux de réussite plus faible (15 à 20 %), c’est pourquoi la FIV est généralement préférée.

Le don de sperme est-il légal à Chypre ?

Oui, le don de sperme est entièrement légal à Chypre et appliqué conformément aux réglementations établies par l’État. Les spermatozoïdes utilisés doivent provenir de banques de sperme internationales certifiées ; aucun donneur n’est accepté de manière aléatoire.
L’identité du donneur est légalement confidentielle et aucune information personnelle n’est partagée entre la famille receveuse et le donneur.
Comme le don de sperme est interdit en Turquie, de nombreux couples et femmes célibataires choisissent Chypre comme option sûre pour ce traitement.

Qu’est-ce que la congélation des ovocytes et comment se déroule-t-elle ?

La congélation des ovocytes est une procédure médicale dans laquelle les ovocytes sont prélevés et congelés afin de préserver la fertilité future de la femme. Le processus commence de manière similaire à la FIV : les ovaires sont stimulés par des médicaments hormonaux pour faire mûrir plusieurs ovocytes en un seul cycle.
Les ovocytes matures sont prélevés au cours d’une courte intervention guidée par échographie, puis préparés en laboratoire avec des solutions spéciales avant d’être congelés à des températures très basses. La méthode de vitrification utilisée aujourd’hui est une technique de congélation rapide qui empêche les ovocytes d’être endommagés.
Les ovocytes congelés sont décongelés ultérieurement, fécondés avec des spermatozoïdes et transférés sous forme d’embryons lorsque la femme décide de devenir mère.

À qui la congélation des ovocytes est-elle recommandée ?

La congélation des ovocytes est recommandée pour des raisons médicales ou sociales. Elle est conseillée dans les situations suivantes :

Femmes qui vont recevoir un traitement contre le cancer : la chimiothérapie et la radiothérapie peuvent endommager les ovaires, donc la congélation avant le traitement protège la fertilité future.
Risque de ménopause précoce : lorsque des antécédents familiaux existent, la réserve ovarienne peut diminuer plus tôt que prévu.
Femmes dont la réserve ovarienne commence à diminuer : AMH faible ou opérations ovariennes prévues.
Femmes souhaitant retarder la maternité : études, carrière, ou attente du bon moment.

En résumé, c’est une méthode de protection pour toutes les femmes qui souhaitent éviter le regret futur de ne pas avoir congelé des ovocytes à un âge plus jeune.

Quel est l’âge idéal pour congeler ses ovocytes ?

Les meilleurs résultats sont obtenus à un jeune âge ; la période idéale se situe entre la fin de la vingtaine et le début de la trentaine.
À cet âge, les ovocytes sont à la fois plus nombreux et de meilleure qualité génétique.
Après 35 ans, la réserve ovarienne et la qualité diminuent rapidement.
Après 40 ans, la congélation est rarement recommandée car la capacité des ovocytes à produire des embryons génétiquement sains baisse de manière importante.

Combien de temps les ovocytes congelés peuvent-ils être conservés ?

En théorie, les ovocytes congelés peuvent être conservés indéfiniment. À –196 °C, toute activité biologique s’arrête et les ovocytes conservent leur qualité pendant de nombreuses années. Des naissances saines ont été rapportées avec des ovocytes conservés plus de 10 ans.
À Chypre, il n’existe pas de limite stricte concernant la durée de stockage ; tant que les frais annuels sont payés, les ovocytes peuvent être conservés en toute sécurité.
Ce qui importe, c’est la sécurité et la qualité du laboratoire où ils sont stockés.

Quel est le taux de grossesse avec des ovocytes congelés ?

Aujourd’hui, la technologie de congélation des ovocytes est tellement avancée que les taux de réussite sont très proches de ceux obtenus avec des ovocytes frais.
Grâce à la vitrification, le taux de survie des ovocytes après décongélation dépasse 90 %.
Lorsque les ovocytes ont été congelés à un jeune âge, les taux de développement embryonnaire et de grossesse sont élevés ; chez les femmes de moins de 35 ans, les taux de grossesse peuvent atteindre 40 à 50 %.
Le facteur le plus déterminant est l’âge auquel les ovocytes ont été congelés : plus la femme était jeune, meilleurs sont les résultats.
Ainsi, la congélation des ovocytes offre aux femmes l’avantage de « stopper l’horloge biologique ».

Comment se déroule le processus de traitement à Chypre pour les patientes venant de l’étranger ?

Chypre est une destination internationale pour les traitements de fertilité, connue pour ses taux de réussite élevés et ses réglementations flexibles.
Dans un premier temps, les patientes contactent la clinique depuis leur pays d’origine, transmettent leurs antécédents médicaux et envoient leurs tests. Les coordinateurs, parlant plusieurs langues, réalisent une évaluation initiale à distance. Un plan de traitement personnalisé est ensuite établi, ainsi que les dates de voyage nécessaires.
Avant la phase active du traitement, certains médicaments peuvent être utilisés dans le pays de la patiente. La clinique suit l’évolution du traitement à distance via téléphone ou appels en ligne jusqu’à l’approche de la ponction ovocytaire ou du transfert embryonnaire.
Lorsque le moment est venu, la patiente se rend à Chypre. La majorité des cliniques proposent des transferts depuis l’aéroport, des suggestions d’hébergement et un accompagnement du programme.
La ponction ovocytaire et le transfert embryonnaire sont généralement réalisés en 5 à 10 jours, ce qui évite un long séjour. Après le transfert, la plupart des patientes peuvent retourner dans leur pays après une courte période de repos. Le voyage n’affecte pas négativement l’implantation embryonnaire, il est donc médicalement sûr. Le test de grossesse est effectué environ 12 jours plus tard dans le pays d’origine et transmis à la clinique.
Chypre offre un environnement sûr et organisé pour les patientes étrangères : accompagnement à chaque étape, soutien logistique, et centres expérimentés qui permettent un traitement confortable et sans stress.